I don't know what he does to impress mehe puts his hands on meand it's always killing me I don't know what he tries to do with mehe sings a song to meand it's always killing me I know i'm all wrong therefor nothing comparesmy precious libertyso please get away from me Oh oh, we could meet in a parkthen we'll do any-anything you liketurn the black into an amazing whiteand then i'll tell you that i love you
I don't know how he hypnothises mehe puts his hands on meand it's always killing me I know i'm all wrong therefor nothing comparesmy precious libertyso please get away from me Oh oh little man you look likeyou won't forget to meet me in the parkbut just in case you never come backi want to mention that i love you
Join us in the queueThere’s a party in the place tonightGet some friends with youI want to see all of them by my side Take some bottles tooAin’t gone fall down high and dryLoad yourself anewAnd don’t forget to leave us some aside Everytime, Everywhere, Everyone is the sameEverytime everyone is trying to find someoneSometime when, somewhere else, someone like no one elseAnyway everyone will never find anyone Come as you want toNo one will tell you how cool you areEven you’re not in the moodI promise we all gone make it alright Everytime, Everywhere, Everyone is the sameEverytime everyone is trying to find someoneSometime when, somewhere else, someone like no one elseAnyway everyone will never find anyone Is there anything else to do tonight in the city ?Is there anyone to see after this party ?
Heard this one whispered through the cracks in the xylophoneOlfactory sensation is of coffee and the styrofoamAs for battle raps and who's the dopestLearned to take it lightly like my mother's jew neurosisPrognosis was never be the baron of this rap shitBut you know what they say, let them wear it if the cap fitIm rocking mine with pride and style it upSlightly angled to the side, crunk, wilding on the cutScratch an accapella like a lottery ticketDug some Donald Byrd out the crate, flipped itLove to make her shake and taste her lipstickThe way she flakes the brisket, it really takes the biscuitWhen I rips it, like a Jedi knight with the force in meWalk the fine line between debauchery and sorceryMicrophone magician, construct an algorithm with precisionRhyming Wittgensteinian logician on a missionWishing upon a star..Green to the T with the caviar now check the referenceMusical allusions in the sessionsPlus youthful optimism is itself an act of reverence
Dont get no water on the gremlinsGet slaughtered like LemmingsMake 'em board up the KremlinHigh treason.. down with the regent I was harassed and fought like Harrison Fordin that one episode of South Park where he's buried in cock.Blood gushing from his orifice like sherry or port,while all of ya'll just watched like an american sport.Where are your balls? I'm tearing you alla new jap's eye. Rap fly, that is why i carry the torch.The chairman of boards; the ferryman of yachts;the baddest mothafucka that you ever heard, but that ain't your fault.If you had any idea of the mind focusthat goes into every word that I write on thispeace of paper, you couldn't breathe on the mic, homes.It's the speech Vader teaching you hitting the right tones withmy ill voice. You couldn't read me a tight poem ifyour name was Shakespeare, so retreat or rhyme pwned, bitch!On the real, you believe it's a light joke, kid?You better think again and go find a new rhyme opponent.
Paroles ... Frevo du carnaval de Bahia. Joyeux & entraînant. Chanteurs, guitare ...Frevo du carnaval de Bahia. Joyeux & entraînant. Chanteurs, guitare électrique, choeur & rythmique.
Fantasiada eu vouDe colombina ou Mulher-Maravilha Mas seja do que forEu vou cair nessa folia eu vou De Sacy-Pererê, de astronauta ou d'YemanjaEu quero um beijo quero um sacolejo Quero pisar nesse chãoEu quero um beijo quero um sacolejo Ninguem me segura não
Paroles ... Samba de roda. Paroles d'un rituel candomble. Voix de femme, guitare ...Samba de roda. Paroles d'un rituel candomble. Voix de femme, guitare & percussions.
Logunedé, Logunedé eu souLogunedé, Logunedé eu sou
Paroles ... Afro-samba. Chanson pour les habitants de l'état du Minas Gerais. ...Afro-samba. Chanson pour les habitants de l'état du Minas Gerais. Choeur & percussions.
Mineiro não conhece o marMineiro não conhece o mar Não quer nao tem diz que vem Não quer nao tem diz que vem Não quer nao tem diz que vem Mas diz que vai
Là haut près du ciel tu marches sur un filJ’ai calmé ma peur pour t’y retrouverUn seul souffle d’air nous ferait tomberTout est si fragile Pourtant peu à peuEn fermant les yeuxNos mains se découvrentNos corps se retrouvent On est juste l’un et l’autre qui s’aimentOn est juste l’un et l’autre qui s’aimentC’est tombé sur nous Comme çà d’un seul coupÇà donne même la frousse On est juste l’un et l’autre qui s’aimentOn est juste une femme et un homme qui s’aimentC’est pas si souventQu’on croise le ventDe la folie douce Un jour tu m’appelles du bout de la terreJ’écoute ta voix qui vient, qui s’enfuitChez toi c’est le jour chez moi c’est la nuit Et mon cœur se serre Pourtant peu à peuEn fermant les yeux Nos mots se découvrentNos âmes se retrouvent On est juste l’un et l’autre qui s’aimentOn est juste l’un et l’autre qui s’aimentC’est tombé sur nous Comme çà d’un seul coupÇà donne même la frousse On est juste l’un et l’autre qui s’aimentOn est juste une femme et un homme qui s’aimentC’est pas si souventQu’on croise le ventDe la folie douce Et si d’aventure l’image s’arrêteJe sais malgré tout qu’on va se croiserDes années plus tard un beau soir d’étéComme un jour de fête Et là peu à peuEn fermant les yeuxNos mains se découvrentNos corps se retrouvent … On est juste l’un et l’autre qui s’aimentOn est juste l’un et l’autre qui s’aimentC’est tombé sur nous Comme çà d’un seul coupÇà donne même la frousse On est juste l’un et l’autre qui s’aimentOn est juste une femme et un homme qui s’aimentC’est pas si souventQu’on croise le ventDe la folie douce
Paroles ... Tendre & délicat. Chanteuse, piano & violoncelle.
Pour un sourire quand tu passesQuand tu passes ta mainSur mes vingt ansTes baisers que rien ne remplacentRien ne remplace ta main…j’oublie le temps… Pourtant l’on sait que le temps passeSur les vieux amantsEt que soudain l’hiver les glaceDe cheveux blancsQue souvent leurs rêves s’effacentMeurent quand ils dorment trop longtempsEt le temps passe… Pour un sourire quand tu passesQuand tu passes ta mainSur mes vingt ansTes baisers que rien ne remplacentRien ne remplace ta main…j’oublie le temps… Pour retenir le temps qui passeSur les vieux amantsQue jamais l’hiver ne remplaceTous leurs printempsQuelques soient les corps qui s’enlacentSi leurs mains se serrent pour longtempsEt l’amour passe… Pour un sourire quand tu passesQuand tu passes ta mainSur mes vingt ansTes baisers que rien ne remplacentRien ne remplace ta main…j’oublie le temps… Pour arrêter le temps qui passe Sur les vieux amantsQue jamais l’hiver ne les glaceDe cheveux blancsQue jamais leurs rêves ne se lassentReste leurs fièvres d’avantLa vie se passe…
A l’abri entre deux collinesY’a un port aux toitures grisesIl est connu pour ses sardinesEt le portail De son église Au bout des plages de galetDes femmes aux bien charmants visagesViennent dire un chagrin discretAux navires qui S’en vont au large Arrêtons nous encoreDans le petit portQuand se lève, chante, ou s’endortLe vent du nord
Un bateau aux longues mâturesVient lentement sur le chenalIl s’avance entre les hauts mursGrand goêlandSous le ciel pâle On donne le bonjour aux marinsOn remarque le capitaineDes jeunes filles agitent leurs mainsRougies de froids Dans les mitaines Près des quais se trouve un jardinOù les pelouses sont vert pommeUne statue blanche s’y tientSans doute celle D’un grand homme Le parc est plein de chaises videsOn se demande à quoi elles pensentAux vielles dames , aux amours timidesA l’hiver Ou à l’innocence
Mon infidèle innocenceSur la mer beau voilierTu es partie pour ne plus revenirSous les grands Alizés Toute ma vie pour ces étoilesQui peuplaient mon cœur d’enfantPour ces trésors ces matins aux yeux pursCes serments et ces grands sentiments Je partais pour la batailleLe bras sûr le regard fierMais j’ai laissé sur le couteau du tempsMes larmes et mon sangMa vie est un ballon rougeLâché au vent de l’hiverUn grand oiseau m’accompagne un momentJe m’en vais pour le soleil couchant Sable de duneOiseau de lune Espoir des soirs caressantsMon insouciance, ma transparenceJe vous cherche infinimentCes heures lentes Me désenchantentMoi qui n’avait peur de rienPages du livreQui se délivrentJe ne veux pas savoir la fin Je voyais ma citadelleDans un éternel printempsMais dans ma vie il fait chaud il fait froid Un jour noir, un jour blancPrès de son château de sableS’endort mon prince charmantJoli amour ô mon soleil cachéJe vais te bercer tout doucement Sable de duneOiseau de lune Espoir des soirs caressantsMon insouciance, ma transparenceAvec toi elle me revientCes heures lentesMe désenchantentMais je n’ai plus peur de rienPages du livre Qui se délivrentNos vies sont entre nos mains
Paroles ... Tendre & délicat. Chanteuse, piano & accordéon.
Que tu soies làQue tu soies loinC’est la même choseC’est un mystereTu es dans l’airDans l’univers Je n’pense a rien Cà fait du bienJ’entends la mer Qui chante au loin Je n’pense a rien Cà fait du bienJ’entends la mer Qui chante au loin Je les mets la Comme un espoirJe les retrouve Quand tu pars Quand tu t’en vasTout ce qui resteMon si bel hommeC’est la vie , c’est Tous nos regretsTous nos secrets Donne moi la mainIl n’y a plus rienJ’attends le soir Et puis demain Tu seras loinTu seras làMon ame libreEntre ton ombreEt la lumiereL’endroit l’envers Je n’pense a rienCà fait du bienJ’entends la mer Qui chante au loin Il n’y a plus rien
Je reviens vers toi, De nouveau implorer ton amour. Il n'y a que tristesse et douleur A me trouver au loin. De toute ma souffrance Je suis coupable Aussi suis-je revenu Car sans forces je vis. Souviens-toi, Un jour à ce chanteur Pleine d'amour tu lui as dit : Sans toi je ne puis être heureuse. A cet instant même je ne sais S'il n'existe dans ton cœur Ce pur sentiment Que tu as nourri pour moi.
Ne me rejette pas, Je ne suis, pauvre de moi, Qu'amère déception.
Ma tête folle Maintenant sait, Que c'est par ta faute, femme, Que je vis ainsi.