Paroles ... Chanson années 30. Jazzy, malicieux & amoureux. Duo de chanteur & ...Chanson années 30. Jazzy, malicieux & amoureux. Duo de chanteur & chanteuse, piano, basson & rythmique.
Un reflet de vous dans la vitrineEt mon cœur soudain se ranimeComme au ciné ou dans les magazinesUn reflet de vousVos yeux qui m’entraînentVotre charme de ParisienneVotre silhouette sur la mienneUn reflet de vous,Votre taille fineDéjà je vous imagine...Au volant de votre DauphineEntre Paris et Morzine
Un reflet de vous dans la vitrineEt mon cœur soudain s’illumineDu bout des yeux je vous devineUn sourire de vous,Vos fines moustachesQui se reflètent dans la glaceEt ce bonheur qui me dépasseUn veston croisé,Le regard en coinVotre charme parisienUn reflet de vous, je vous vois sur l’heureFringant sur votre scooter
Un reflet de nousDedans la vitrineLe destin qui se dessineAu volant d’une limousineNous partirons pour la Chine(Adieu, partons pour la Chine)
English translation : UN REFLET DE VOUS
Your réflection in the windowAnd my heart leaps upLike in the movies or in the magazinesYour reflectionYour eyes enchant meYour Parisian charmYour silhouette on mineYour reflectionYour slim waistAlready I imagine you…At the wheel of your DauphineBetween Paris and Morzine Your reflection in the windowAnd my heart suddenly brightensWith a glimpse I make you outYour smileYour fine moustacheReflected in the mirrorAnd the happiness I can but imagineA double-breasted jacketA sidelong glanceYour Parisian charmYour reflection, I see you straight awayA dashing image on your scooter
Your reflectionIn the windowDestiny is drawnAt the wheel of a limousineWe’re off to the China
ParisT'as l'palpitant à Notre-DameMais l'Amour c'est rue d'AmsterdamQu'on l'achète, pour des picaillons,Mêm' à c'prix là parfois c'est bon ParisT'as la tête au creux des nuagesLa Tour Eiffel et trois étagesQui scintillent quand arriv' le soirDès fois qu'tu vois tout trop en noir ParisT'as les pieds au bord de la SeineOù s'noie l’chagrin quand t’as d’la peineSous des vagues de mélancolieAu son des orgu' de Barbarie ParisT’as les esgourd' qu’ont des bouchonsA caus' de la circulationT’as plus vingt berges et dans ta voixQuand tu gamberges ça n’est plus toi
ParisT'as les poumons dans l' Bois d'VincennesDans l’Bois d'Boulogne des phénomènesQui respirent un parfum d’amour Qui ne durera pas toujours
ParisDans tes veines y a l'métro qui ramePour écouler tous les quidamsQui s'serrent les coudes au p'tit matinPour s'faufiler jusqu'au turbin ParisT’as les tripes au Quartier LatinQuand vient l’mois d’Mai et dans la mainTu tiens l'fusil ou bien l' canonA l'heur' de la Révolution ParisY a tes peintres qui t'font des couleursDes piqu'assiettes qui n'ont pas peurD'impressionner dans les salonsTime is Monet ou Valadon ParisT'as tant d'amour dans tes chansonsQu'parfois on en perd la raisonQu'on se les siffle à tout bout d'champEt parfois mêm' aux enterr'ments
English translation :
PARIS ParisYour heart is in Notre DameBut love, it’s in rue d’AmsterdamWhere you buy it for peanuts ParisYour head is nestled in the cloudsThe Eiffel Tower and its three storiesWhich sparkle as night fallsIf ever you looking on the dark side ParisYour feet on the bank of the SeineWhere sadness drowns when you’re in painUnder waves of melancholyTo the sound of the barrel organ Paris,Your ears are blockedBecause of the trafficYou’re no longer twenty and in your voiceI you think about itIt’s no longer you ParisYour lungs are in the Bois de VincennesAnd in the Bois de Boulogne these creaturesWho breeze a perfume of loveWhich will not last forever ParisIn your veins there’s the metro striving To circulate your populationCrushed together in the early morningOn their way to work ParisYour guts are in the Latin QuarterWhen the month of May comes aroundPistol in your hand or even the canonAt the hour of the Revolution ParisPainters fill you with coloursScroungers
unafraidTo make an impression in the salonsTime is Monet or Valadon ParisSo much love in your songsSometimes loosing our heads in themWhistling them at every turnAnd sometimes even at funerals
Paroles ... Chanson années 20. Java. Montmartre. Sautillant & mélancolique. ...Chanson années 20. Java. Montmartre. Sautillant & mélancolique. Chanteuse, accordéon, piano, banjo, clarinette & section de cordes.
Tu n’as pas su m’aimerComme l’on doit aimerEst-ce un refrain de poète Qui t’a fait perdre la tête ?Le temps passe et pourtantMalgré moi je t’attendsEt dans Montmartre la nuit Levant les yeux je me dis : Tant que tournerontLes ailes en rond,Du Moulin de la GaletteMon cœur chantera,Comme auprès de toi,La chanson des jours de fêteQuand dans le faubourgLes yeux pleins d’amourSur moi tu posais la têteQu'elles sont joliesBrillant dans la nuitLes ailes du Paradis
Depuis ce jour mauditJe traîne dans ParisEt dans le moindre visage
Je recherche ton imageLes jours semblent si longsQu' au fil des rues sans nom Si le cafard me chahuteJe regarde vers la Butte
English translation : Moulin de La Galette You couldn’t love meLike you should Is it with the poet’s refrainThat you lost your head?Time goes by and stillI wait for you despite myselfAnd in Montmartre at nightRaising my eyes I say to myself: As long as Windmill blades of the of the Moulin de La Galette shall turnMy heart will singLike when I am near youThe song of the feast daysWhen in the faubourgEyes full of loveYou leant your head on mineHow pretty they areShining in the nightThese wings of Paradise Since this accursed dayI roam the streets of ParisAnd every faceI seek your reflectionThese days seem so longthat on street after nameless streetIf the blues takes holdI look toward la Butte (of Montmartre)
Paroles ... Chanson années 60 - 70. Cabaret. Joyeux & malicieux. Chanteuse & ...Chanson années 60 - 70. Cabaret. Joyeux & malicieux. Chanteuse & petit orchestre.
Les gens de ma sorteSont de vrais amoursSur le pas d’ leur porteIls vous disent « Bonjour ! »« Hello ! Tu viens chéri ? »« Tu seras mon homme »« Là-haut dans mon p’tit nid »« Tu pourras admirer Paris »Les gens de ma sorteOnt un p’tit béguin
Pour les gens qui portentLe « chic parisien »Pour faire des foliesUne douce ivresse :Le Paradis des petites femmes de Paris Sur les Champs-ElyséesTout près des quais de la SeineAu comptoir des cafésAux abords du Bois d’VincennesOn peut les voir passerTrès
coquettes elles se promènentMon Dieu qu’elles sont joliesMais moi j’vous l’dit : Les gens de ma sorteOnt des rendez-vousQui parfois rapportentExtrêmement beaucoupQuand dîner sur l’boul’vardD’vient une habitudeOn n ‘a plus le cafardEt les idées comme du café noirLes gens de ma sorteRêvent de bijouxQue les Dames portentAutour de leur couEt si cela finitAdieu la richesse...Je veux aller là où mon cœur me conduitAu Paradis des petites femmes de Paris
English translation : LES PETITES FEMMES DE PARIS People like meAre proper dearsOn their door stepThey say « Allo darlin’ fancy a bit?”“you’ll be my man »”Up their in my little nest”“You can admire Paris”People like me Take a fancyTo people who wear“Parisian chic”So are folliesAre bathed in sweet inebriation:The paradise of the little ladies of Paris
On the Champs ElyséesRight by the quays of the SeineIn the café barsTo the edges of the Bois de VincennesWe see them go bySo coquettish as they walkMy word how pretty they areBut I must tell you people like meHave rendez-vousWhich sometimesBring in a lot of moneyWhen we become accustomedTo dining on the boulevardWe lose the bluesAnd thoughts as black as café noir.People like me Dream of jewelsThat grand ladies wearAround their necksAnd, dream over,Farewell richness…I want to go where my heart leads meTo the paradise of the little ladies of Paris
Version instrumentale. Années 60 & 70. Décidé & amusant. ...Version instrumentale. Années 60 & 70. Décidé & amusant. Clarinette, orchestre à cordes, piano & rythmique.
Paroles ... Chanson années 20 & 50. Inquiétant & dramatique. Chanteuse, ...Chanson années 20 & 50. Inquiétant & dramatique. Chanteuse, accordéon, piano & contrebasse.
Sur les toits de Paris la nuitLes Apaches* sont réunisEt dans l’éclat de lune qui blanchit les maisonsDes ombres se projettent en longIls préparent un coup vengeurLa lame de couteau sur le cœurEt demain on lira dans les journaux du soir :« Un homme a succombé dans le noir » Ah ! regardez-les passer quand ils glissent sans bruitFilant à travers les rues d’un quartier de Paris Ils n’ont pas l’air de s’en faire et partent à la conquêteDes filles qu’ils font danser le soir au bal musetteEt sur les accords vibrants d’un vieil accordéonMurmurent les mots d’amour qui donnent le frissonMais ils finiront un jour reclus à la Roquette*Et regretterons le temps qui fait perdre la tête... Au bord du Canal St MartinDans la froideur d’un p’tit matinUne étrange silhouette s’arrête un court instantEst-ce un marinier ou un passant ?L’onde calme soudain s’agiteUne forme se précipiteEt dans le rouge sang d’un fugace refletUn corps disparaît à tout jamais Écoutez filles des faubourgsPrenez garde aux trop beaux discoursLes serments prononcés à la lueur d’un lampionSont là pour vous faire perdre raisonSi le cœur de Paris la nuitVous entraîne dans ses foliesDieu sait où les baisers de ces mauvais garçonsUn jour ou l’autre vous conduiront ?
English translation : Apaches On the rooftops of ParisThe Apaches meetAnd as the white light of the moon shines on the houses belowAnd the shadows lengthenThey are preparing their revengeKnife blade on their heartsAnd tomorrow we will read in the evening papers:“A man succumbed in the darkness” Ah ! Watch them slip silently by Criss crossing the streets of the Parisian quartierThey don’t seem too concerned and set out to win the heartsOf the girlsThey dance with in the evening at the bal musette*And to the Moving vibrato of an old accordionThey whisper sweet nothings to make heart flutterBut they will end up one day in the RoquetteAnd will regret these heady moments On the banks of the Saint Martin CanalIn the chill of the early hoursA strange silhouette halts just for a momentIs it a bargeman or a passer-by?Suddenly the calm waters are disturbedA shadow flees byAnd in the red blood of a fleeting reflexionA body disappears forever Listen you faubourg girlsBeware of pretty storiesVows pronounced by the light of a Chinese lanternAre there to make you loose your headsIf the heart of Paris by nightLeads you into a follyLord knows where these bad boy’s kissesWill take you one day or another.
J'pensais qu'tu seraisMa tout' p'tit femmeMa tout'p'tite cailleMais patatra!V'là qu'un p'tit garsUn dur à brasDans ton jardin A déboulé C'est pas mon fort Les matadorsLes gros fortichesLes gros costauds J'croyais qu'tu s'raisMa fleur du soirPour moi, peinardBonjour, bonsoirMais v'la t'y pasQu'un grand gaillardA mis son r'gardDans tes yeux noirs
Ce qui me resteMa gigoletteMa p'tite pouletteC'est ma chopineC’est mon litronEt puis mon schlassEt puis ma poissePour pas un rond
English translation : It’s not my cup of tea I thought you would be my little ladymy little sparrowbut waddya knowHere’s a little guyA tough nutIn your gardenTurns up It’s not my cup of teaMatadorsTough guys I thought you would beMy evening flowerFor me alone, no worriesHello helloWaddya knowA great hunkIs staring intoYour black eyes What’s left my little teaseMy little chickadeeIs my bottle,My shot of hoochMy bladeAnd my bad luckAll that for zilch
Paroles ... Chanson années 50. Paris. Valse. Romantique & émouvant. Chanteuse, ...Chanson années 50. Paris. Valse. Romantique & émouvant. Chanteuse, accordéon & petit ensemble.
Il y aura toujours un p'tit air de rengaineAu fond d'une cour, sur les bords de la SeineUn refrain qui conjugue l'amourEt puisLes amants de ParisIl y aura toujours une frêle guinguettePour danser à deux, pour s'aimer en cachetteUn hôtel à trois pas du faubourgOù l'on confond la nuit et le jour Il est au fin fond d’une impasseUne maison où l'on s'enlaceA l'abri des sombres regardsDes bourgeois qui passent le soirIl n'y a même pas de terrasseMais chacun y trouve sa placeEt dans un coin l'accordéonOffre alors à chacun sa chanson
English translation : There will always be There will always beA little old songIn a courtyard, on the banks of the SeineA refrain which bindsAmour with the lovers of ParisThere will always beA creaky guingetteTo dance together, to love in secretAn hotel stone’s throw from the faubourgWhen night and day entwine Down the end of an alleyA house where we entwineAway from the dark looksOf the bourgeoisie passing by in the eveningThere is not even a terraceBut everyone can find their placeAnd in a corner the accordionOffers each their song