El agua de la vidaEs una sola gotaEs una sola gotaLa gota de tu cara La luna del cieloEs un mero reflejoEs un mero reflejoDel fulgor de tu cara Quiero une larga noche iluminadaPor la luz de tu caraQuiero esa noche de tu caballeraQuiero esa luna de tu cara
Como não recordar de nós dois, quanta saudadeTantas lembranças tão antigas tão presentesQue não posso esquecer, como poderiaNao tem jeito não Mesmo se eu quisesse renegar, anos depoisCada passo lado a ladoCada laço assim atadoEu não poderia deslembrar jamais Tem jeito nãoTempo passou pra nós doisMas ficou um gosto bomTempos depois pra nós dois Tempo bom que passouQue passou que ficou
Good byeFarewell Today I leaveI can take a plane to anywhereI wonder where you are and if you care I think I’ll go to SaltaA city located inArgentinaI was told there is a Moon ValleyYou might be sleeping there wearily
I’d wake you up with a kiss you’d be my magical dream Life is quite curiousLove is fairly viciousI’m kind of hilariousAll the time That’s my remedyTo this huge comedyI laugh and I peeOn the timeAnd I walk on spaceTo ward off my silly fate If you’re not in SaltaI’ll move up to South Bolivia To UyuniYou might be waiting on l’Isla Del SolSitting on a giant cactus tree And if I don’t find you thereI will take a chance on the Easter IslandIt all comes down to magic over thereIt’s full of stones and undiscovered caves
Relax & désuet. Dans l'esprit des années 40 & 50. Petit ensemble ...Relax & désuet. Dans l'esprit des années 40 & 50. Petit ensemble avec trompette bouchée, clarinette & violon.
A Paris les jours sansJe deviens une étrangèreAveuglée d’un ciel trop blanc Dont la poitrine se serre Dans le froid étouffantL’indifférente atmosphèreLe gris-noir environnant Des avenues sans mystère A Paris les jours sansTu te fermes comme un livreAmour abonné absentPlus rien de moi ne t’enivre Est-ce toi mon amantDans ce regard qui esquiveDans les mots trop hésitantsD’un fantôme à la dérive ? Eternels impatientsSommes nous de gourmandisesD’un bonheur incandescentQui fait fondre la banquise
Réchauffe les continentsRedresse la tour de PiseMets nos voiles sous le ventEt nous emmène à Venise A Paris les jours sansC’est le monde qui me quitteMais que deviendrais-je sansMe blottir toute petite Dans tes bras m’accueillantMe disant « vas pas si vite ! »Un jour avec un jour sansLe bonheur çà se mérite
A Paris les jours sansDe passion je n’en ai qu’uneDes blessures j’en ai centAlors poses sur ma lune Tes deux mains frémissantComme le vent sur la duneQue même par mauvais tempsPlus rien ne nous importune
Là haut près du ciel tu marches sur un filJ’ai calmé ma peur pour t’y retrouverUn seul souffle d’air nous ferait tomberTout est si fragile Pourtant peu à peuEn fermant les yeuxNos mains se découvrentNos corps se retrouvent On est juste l’un et l’autre qui s’aimentOn est juste l’un et l’autre qui s’aimentC’est tombé sur nous Comme çà d’un seul coupÇà donne même la frousse On est juste l’un et l’autre qui s’aimentOn est juste une femme et un homme qui s’aimentC’est pas si souventQu’on croise le ventDe la folie douce Un jour tu m’appelles du bout de la terreJ’écoute ta voix qui vient, qui s’enfuitChez toi c’est le jour chez moi c’est la nuit Et mon cœur se serre Pourtant peu à peuEn fermant les yeux Nos mots se découvrentNos âmes se retrouvent On est juste l’un et l’autre qui s’aimentOn est juste l’un et l’autre qui s’aimentC’est tombé sur nous Comme çà d’un seul coupÇà donne même la frousse On est juste l’un et l’autre qui s’aimentOn est juste une femme et un homme qui s’aimentC’est pas si souventQu’on croise le ventDe la folie douce Et si d’aventure l’image s’arrêteJe sais malgré tout qu’on va se croiserDes années plus tard un beau soir d’étéComme un jour de fête Et là peu à peuEn fermant les yeuxNos mains se découvrentNos corps se retrouvent … On est juste l’un et l’autre qui s’aimentOn est juste l’un et l’autre qui s’aimentC’est tombé sur nous Comme çà d’un seul coupÇà donne même la frousse On est juste l’un et l’autre qui s’aimentOn est juste une femme et un homme qui s’aimentC’est pas si souventQu’on croise le ventDe la folie douce
Paroles ... Tendre & délicat. Chanteuse, piano & violoncelle.
Pour un sourire quand tu passesQuand tu passes ta mainSur mes vingt ansTes baisers que rien ne remplacentRien ne remplace ta main…j’oublie le temps… Pourtant l’on sait que le temps passeSur les vieux amantsEt que soudain l’hiver les glaceDe cheveux blancsQue souvent leurs rêves s’effacentMeurent quand ils dorment trop longtempsEt le temps passe… Pour un sourire quand tu passesQuand tu passes ta mainSur mes vingt ansTes baisers que rien ne remplacentRien ne remplace ta main…j’oublie le temps… Pour retenir le temps qui passeSur les vieux amantsQue jamais l’hiver ne remplaceTous leurs printempsQuelques soient les corps qui s’enlacentSi leurs mains se serrent pour longtempsEt l’amour passe… Pour un sourire quand tu passesQuand tu passes ta mainSur mes vingt ansTes baisers que rien ne remplacentRien ne remplace ta main…j’oublie le temps… Pour arrêter le temps qui passe Sur les vieux amantsQue jamais l’hiver ne les glaceDe cheveux blancsQue jamais leurs rêves ne se lassentReste leurs fièvres d’avantLa vie se passe…
A l’abri entre deux collinesY’a un port aux toitures grisesIl est connu pour ses sardinesEt le portail De son église Au bout des plages de galetDes femmes aux bien charmants visagesViennent dire un chagrin discretAux navires qui S’en vont au large Arrêtons nous encoreDans le petit portQuand se lève, chante, ou s’endortLe vent du nord
Un bateau aux longues mâturesVient lentement sur le chenalIl s’avance entre les hauts mursGrand goêlandSous le ciel pâle On donne le bonjour aux marinsOn remarque le capitaineDes jeunes filles agitent leurs mainsRougies de froids Dans les mitaines Près des quais se trouve un jardinOù les pelouses sont vert pommeUne statue blanche s’y tientSans doute celle D’un grand homme Le parc est plein de chaises videsOn se demande à quoi elles pensentAux vielles dames , aux amours timidesA l’hiver Ou à l’innocence
Mon infidèle innocenceSur la mer beau voilierTu es partie pour ne plus revenirSous les grands Alizés Toute ma vie pour ces étoilesQui peuplaient mon cœur d’enfantPour ces trésors ces matins aux yeux pursCes serments et ces grands sentiments Je partais pour la batailleLe bras sûr le regard fierMais j’ai laissé sur le couteau du tempsMes larmes et mon sangMa vie est un ballon rougeLâché au vent de l’hiverUn grand oiseau m’accompagne un momentJe m’en vais pour le soleil couchant Sable de duneOiseau de lune Espoir des soirs caressantsMon insouciance, ma transparenceJe vous cherche infinimentCes heures lentes Me désenchantentMoi qui n’avait peur de rienPages du livreQui se délivrentJe ne veux pas savoir la fin Je voyais ma citadelleDans un éternel printempsMais dans ma vie il fait chaud il fait froid Un jour noir, un jour blancPrès de son château de sableS’endort mon prince charmantJoli amour ô mon soleil cachéJe vais te bercer tout doucement Sable de duneOiseau de lune Espoir des soirs caressantsMon insouciance, ma transparenceAvec toi elle me revientCes heures lentesMe désenchantentMais je n’ai plus peur de rienPages du livre Qui se délivrentNos vies sont entre nos mains
Paroles ... Tendre & délicat. Chanteuse, piano & accordéon.
Que tu soies làQue tu soies loinC’est la même choseC’est un mystereTu es dans l’airDans l’univers Je n’pense a rien Cà fait du bienJ’entends la mer Qui chante au loin Je n’pense a rien Cà fait du bienJ’entends la mer Qui chante au loin Je les mets la Comme un espoirJe les retrouve Quand tu pars Quand tu t’en vasTout ce qui resteMon si bel hommeC’est la vie , c’est Tous nos regretsTous nos secrets Donne moi la mainIl n’y a plus rienJ’attends le soir Et puis demain Tu seras loinTu seras làMon ame libreEntre ton ombreEt la lumiereL’endroit l’envers Je n’pense a rienCà fait du bienJ’entends la mer Qui chante au loin Il n’y a plus rien